« Le premier jour de la chute des Géants ; manger, prier, aimer. »
C’est une chose étrange à la fin que le monde, la première nuit !
On a peur du noir.
Malgré la carte, le territoire est un lieu incertain… le bonheur y est un roman où l’homme qui voulait être heureux lance un boomerang et reçoit, en retour, le rire du cyclope.
Absolument débordé, sans un adieu – l’homme n’aime pas les adieux…
…Même le silence a une fin.
Sarah B. S., 23 octobre 2010
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