mercredi 23 février 2011
mardi 22 février 2011
Cauchemar de la cave de ma grand-mere…
Chez ma grand-mère, il y a de la moquette dans la cave, pour étouffer les bruits de pas des sabots sur le béton… Ma grand-mère travaille toujours en sabots. Avant d'habiter en ville, elle a vécu dans une ferme et là-bas, les sabots c'était les souliers de travail. Aller traire les vaches, aller nourrir les chevaux, aller récolter les pommes-de-terre, mener les vaches au pré, aller vendre le lait, livrer les œufs… ça se faisait en sabots. Les chaussures de ville ça s'enfilait pour aller aux commissions, le dimanche pour aller à la messe, pour rendre visite à la famille…
…La moquette, ça réchauffe aussi l'atmosphère d'une pièce, ça la rend plus douillette, paraît-il.
Quand je dors chez ma grand-mère, la nuit, j'ai l'impression qu'il se passe des choses bizarres dans cette cave. On essaie de me les dissimuler, mais je sais qu'il se passe quelque chose. Je perçois des bruits étouffés, comme des bruits d'ailes, de petits cris, des bruits de respiration aigus… brrrr! ça me hérisse le poil! Il faudrait que je me lève ; que je soulève la couette, que j'aille jusqu'à la porte, que je descende l'escalier, que je passe sous la pendule, que je pousse la porte qui mène à la cave, que je descende l'escalier en bois, en colimaçon… il ne faudrait pas que quelqu'un éteigne la lumière pendant que je le descends!
Non, c'est normal, et puis ça va s'arrêter.
Si demain ça recommence, je descendrais voir…
Celui qui poursuit un rêve n'en désire pas, au fond, la réalisation : il veut seulement pouvoir continuer à rêver.
Hugo Pratt, Corto Maltese
La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit.
Oscar Wilde
Chaque rêve qui réussit est un accomplissement du désir de dormir.
Sigmund Freud
lundi 7 février 2011
C'est avec application qu'il préparait son avenir…
L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.
Il faut souffrir pour être beau.
…
Pleure, tu pisseras moins!
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L'idée de l'avenir est plus féconde que l'avenir lui-même. (Henri Bergson)
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Tout d'abord, penser à l'envers…
Poncer, vernir… Ensuite, griffer, appuyer fort avec la pointe – l'enfoncer assez profondément –, cuire, graver, mordre…
…et enfin tirer!
Boule de cristal, carte de tarrot, marc de café, lignes de la main… l'avenir est lisible dans beaucoup d' "écritures"… c'est cependant un fantôme aux mains vides, qui promet tout et qui n'a rien!1
Mais quel lieu commode pour y mettre des songes2 !
1.Victor Hugo
2.Anatole France
mardi 1 février 2011
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